27 janvier 2010

Extrait de la Presse: http://www.cyberpresse.ca/international/moyen-orient/201001/27/01-943352-delicat-rapprochement-avec-le-yemen.php

(Paris) «Corrompu, injuste, primitif, criminel.» Le régime d’Ali Abdullah Saleh, homme fort du Yémen, est sur la sellette. Notre correspondant est de retour d’un reportage dans ce pays. Il nous explique pourquoi les pays occidentaux au chevet de cette nation, aujourd’hui à Londres, ne devraient pas «détourner leur regard» des abus du gouvernement yéménite.

Les pays occidentaux qui se réunissent aujourd’hui à Londres pour discuter de la meilleure façon d’aider le Yémen à lutter contre Al-Qaeda s’engagent en terrain glissant en accroissant leur soutien au gouvernement en place.

Le régime d’Ali Abdullah Saleh, qui tient les rênes du petit pays arabe depuis plus de 30 ans, est en effet régulièrement écorché par les organisations de lutte contre la corruption et les défenseurs des droits de la personne.

«Dans un monde idéal, le président Saleh n’est pas quelqu’un avec qui nous aimerions faire affaire», souligne dans une récente analyse la journaliste anglaise Victoria Clark, qui a séjourné plusieurs fois là-bas.

«Corrompu, injuste, primitif, criminel sont quelques-uns des adjectifs que les Yéménites instruits sont susceptibles d’utiliser» pour décrire le gouvernement en place, souligne-t-elle.

Comme dans nombre de pays de la région, la photo du chef de l’État est omniprésente à l’aéroport, dans les hôtels ou dans les rues de la capitale, Sanaa, où sont installés plusieurs panneaux d’affichage géants à son effigie.

Publié le 27 janvier 2010 par La Presse.

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Commentaires et éléments principales

Depuis déjà  30 ans un régime appelé le régime d’Ali Abdullah Saleh qui a tenu tête le petit pays a maintenant des problèmes sur les organismes comme al-qu’aida et aussi sur les droits de l’homme. En effet la journaliste anglaise qui a été plusieurs fois au Yémen a eu ses commentaires justement ici sur le gouvernement :

« Dans un monde idéal, le président Saleh n’est pas quelqu’un avec qui nous aimerions faire affaire »,

« Corrompu, injuste, primitif, criminel sont quelques-uns des adjectifs que les Yéménites instruits sont susceptibles d’utiliser » pour décrire le gouvernement en place, souligne-t-elle.

Voici ses mots qu’elle a dire sur le gouvernement que comme vous pourriez le voir elle explique ce qu’elle a vu par rapport au gouvernement et au président Saleh. Pour en faire preuve d’une affaire de la corruption par exemple la mosquée qui a été ouverte en 2008. Même si le gouvernement dis au journaliste que la plus part qui a été payer pour faire construire la mosquée qui était de 60 millions de dollars américains a été payer par les riches saoudiens, mais une rumeur ou peut-être réalité que sa l’été le 40%  de la population qui vit dans la pauvreté qui la payer. Voici un commentaire d’un citoyen :

« Nommer la mosquée du nom d’un dictateur corrompu est indigne », a écrit un résidant d’Aden, qui parle d’un « réel gaspillage » de ressources.